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jeudi 31 mai 2012

Demeurer dans le mystère


A l'intérieur du Grand Mystère qui demeure
nous ne possédons pas vraiment quoi que ce soit.
Après quoi courrons-nous donc
avant de franchir, l'un après l'autre, la même porte?

Rumi

mercredi 30 mai 2012

Architecture yin





Hôpital de Kaedi en Mauritanie par Fabrizio Carola.
L'architecture est basée sur le rond, les courbes, la douceur, l'ombre, 
conférant un aspect très yin, 
en contraste avec la nature, le climat, la lumière très yang.

mardi 29 mai 2012

maison yang


La célèbre maison sur la cascade de Frank Loyd Wright.
Cette maison a été restaurée à prix d'or, car ses portes à faux fissurés et l'humidité faisaient craindre le pire.
Ce qui pouvait paraître comme le summum de l'intégration dans la nature
me semble plutôt une attitude dominatrice.
Sans parler du bruit.
Cela dit les lignes sont très pures (le génie de Wright).
C'est une maison très yang (lignes tendues, tout à angle droit)
 dans un environnement très yin (eau et forêt).
Mais la cascade qui est yang ne peut amener le repos dans un tel lieu.




lundi 28 mai 2012

yin et yang




La vie traditionnelle était basée sur le rond, synonyme de protection. Le contact avec la terre, tant dans l'habitat que dans les positions affirment la présence du yin. Seules des formes longilignes des corps, ou le dépouillement, amènent un peu de yang. A l'inverse d'aujourd'hui.

samedi 26 mai 2012

yin et yang



le Yin



et le Yang

Aux USA, les plans des villes sont basés sur le carré, en damier.
C'est là que furent inventés les tours ou gratte ciels,
avec la répétition monotone de carrés.
C'est aussi là qu'est apparu le phénomène de l'obésité
avec 30 % de la population dans ce cas aujourd'hui.
Question : Le yang et le yin sont-ils inséparables
quelle que soit la forme qu'ils prennent?

vendredi 25 mai 2012

A la rencontre de soi même

Il y a forcément deux personnages, deux aspects en nous : l'aspect social et l'aspect personnel, intime.
L'aspect social c'est tout ce qui nous met en relation avec le monde extérieur, avec les autres. L'aspect personnel c'est ce qui se passe entre nous et nous.

Inévitablement on est confronté au monde extérieur. Par contre on n'est pas forcément confronté à notre aspect intime, ce qui fait notre authenticité. Il est très facile de se laisser absorber par l'extérieur, y compris par l'autre dans une relation; il est plus difficile de faire attention à ce que l'on veut vraiment. Cela peut être une fuite, une incapacité, une morale du d'abord l'autre, ou autre chose... S'occuper de soi même peut sembler égoïste, ce qui est un comble, alors que si on est dans un état de bonheur et de détente parce que l'on s'est nourri soi-même, on en fait forcément profiter les autres. Qui pourrait le reprocher?

Les reproches... Voilà encore une chose terrible : être dépendant des reproches de ses parents, du conjoint, ou des autres en général, quand ce n'est pas de soi même. Cela mène au conformisme "bien pensant", à la terreur en fait d'être simplement soi même.

Etre simplement soi même. Oser être tel qu'on le ressent vraiment. Oser l'inutile nécessaire. La vie n'est pas que pratique et raisonnable. Elle est élan, folie, laisser aller, jeu, fantaisie, audace, plaisir... Pas que, mais aussi!
Alors qui parle dans l'aspect social, et qui étouffe l'aspect intime?
Etre vrai n'est pas facile, mais le laisser vivre a un gout inexprimable.
Pas évident d'être simplement soi même. Juste possible!

jeudi 24 mai 2012

La vie s'occupe de nous


Laurence de la Ferrière a gravi l'Everest sans oxygène, et traversé l'antarctique en solitaire. Entre autres...

L'expérience de l'extrême apprend au contraire que les choses s'organisent souvent d'elles mêmes, nous montrant la voie à suivre. Elles s'organisent si on reste proche de soi même, souligne Laurence de la Ferrière : "Je suis de plus en plus attentive à cela, même si je me fais encore piéger. J'ai le sentiment que ce sont des pièces de puzzle, que les choses arrivent au moment où il faut et qu'il ne sert pas à grand chose de s'acharner. On dépense beaucoup d'énergie pour rien. Avant d'aller en Antarctique, je voulais repartir une dernière fois à l'Everest, je voulais absolument arriver jusqu'au sommet. Une équipe de Néo-Zélandais m'a proposé de venir avec eux en payant un minimum. Mais même ce minimum représentait 100 000 francs, que j'étais incapable de payer de ma poche, et il a été impossible de trouver des sponsors. J'ai cherché, j'ai remué la terre entière, cela n'a pas été possible. Ils sont partis sans moi. Deux mois après, je reçois un fax : "Nous sommes au sommet, c'est super!" Deux jours après, ils étaient tous morts parce qu'il y a eu une tempête. Je me suis dit : "Tu t'es acharnée, tu as eu de la chance, cela n'a pas marché, sinon tu serais morte!"

Cette attitude permet de se replacer au sein d'une situation comme partie prenante de cette situation et de laisser la solution se produire. Souvent, les choses se décident d'elles mêmes, au moment voulu. Etre intégré à la situation consiste à "participer à la création du monde".

Tiré du livre "Les aventuriers de l'extrême" au chapitre : Etre en harmonie avec soi même...

mardi 22 mai 2012

all one but not alone



Iris



Dans le même parc ce week end

mercredi 16 mai 2012

Tel père tel fils



Dimanche après midi, dune du Pyla, temps magnifique. Une vingtaine de parapentes dans les airs.
A l'écart sur un petit bout de dune, un enfant s'initie au vol sous les conseils de son père. Magnifique!
Quel cadeau fait le père à l'enfant, et quel cadeau fait le fils à son père.
"Papa, regarde, Papa regarde!" Imiter son père et être apprécié.... Ca c'est de l'éducation!
Cela me rappelle des souvenirs de plage enfant, quand mon père me proposait de monter sur ses mains, puis qu'il me soulevait bras tendus au dessus de ses épaules. J'étais pas peu fier.
Si nous sommes parents, osons encore recréer de telles situations...

mardi 15 mai 2012

Penser ou ressentir

Le monde est fondamentalement duel, basé sur une apparente opposition et complémentarité : le masculin - féminin. Les deux sont en chaque chose dans la mesure où ils se cherchent pour vivre le non séparé, et pour continuer la vie incessante qui passe de l'un à l'autre.
Il ne s'agit pas de les opposer, il s'agit de faire avec.
Par exemple : accueillir - rejeter. Il est tellement plus facile de se protéger que de s'ouvrir. Pour tout un tas de raisons. Mais ce n'est pas parce que la violence est plus visible, ou plus montrée, que la bonté et l'amour n'existent pas.
Apprendre à s'aimer est sans doute plus difficile que se juger sans cesse. D'où la haine possible dont parlait la citation précédente.
Quelqu'un qui affirme sa haine devient vite haïssable, alors que quelqu'un qui avoue ses faiblesses attire la compassion.

Il est plus facile de penser que de ressentir, et donc de raisonner que de rester près du coeur. Nous sommes éduqués comme ça. On parle d'esprit critique et de coeur aimant, les mots sont explicites.
C'est l'esprit, en tant que mental, qui enclenche la peur, et le coeur qui crée la confiance.
Oser souffrir, c'est croire que l'on va s'en sortir. C'est risqué, mais c'est possible.
Rester dans la haine, dans le jugement, c'est se fermer toutes les portes de la compréhension, et donc d'un possible différent.
La peur empêche. Alors qu'éprouver c'est vivre.
Les fleurs ne se protègent ni de la pluie, ni des frimas.

Dans le livre dont je tire ces citations (Après l'extase, la lessive de Jack Kornfield), en voici deux :

"Ma vie fut une somme de terribles malheurs... 
dont la plupart n'arrivèrent jamais."
Mark Twain

"L'esprit crée le gouffre, le coeur le franchit."
Sri Nisargadatta

lundi 14 mai 2012

haine ou souffrance

"J'imagine qu'une des raisons pour lesquelles les gens s'accrochent aussi obstinément à leur haine est qu'ils devinent qu'une fois la haine partie ils seraient obligés de faire face à leurs propres souffrances."

James Baldwin

petit coin japonais




J'adore jardiner, 
car c'est une création qui nous récompense 
par le regard que l'on porte ensuite sur le résultat.

Chercher des plantes, les sortir du lot, regarder leur silhouette... Imaginer le rendu par rapport à l'idée de base. Trouver un objet, à force de fouiner, comme cette vasque, que je cherchais depuis longtemps, et à petit prix. Il y a des choses qui vous attendent. C'était le moment. Là où je vais me fournir en matériaux de jardin, j'ai fait des centaines de pierres et de galets, escaladant les monticules, avant de trouver de quoi faire une lanterne. C'est rare de trouver des pierres assez plates dans les galets, à la bonne taille, de même un support oblong sur lequel poser la première. J'en rêvais depuis des années...

dimanche 13 mai 2012

Démocratie

Et si la démocratie était un leurre?
En tous les cas ce que l'on en connait aujourd'hui.
Qui comprend le fonctionnement économique? Qui peut discerner le vrai du faux devant des chiffres et des arguments que les politiques énoncent en cherchant à manipuler ceux à qui ils s'adressent? Qui ose dire la vérité d'une situation si personne ne veut l'entendre?
Dans chaque domaine il y a des spécialistes, et normalement ils sont référents pour analyser et donner un jugement.
La politique semble être une chose bien légère pour qu'elle soit soumise au vote d'une population. Ce n'est pas médire que de dire que le grand nombre n'y connait pas grand chose en de nombreux domaines. Lorsque l'on sait le temps que cela prend pour se connaître soi même, comment peut-on imaginer que l'homme moyen puisse appréhender en toute connaissance de cause les enjeux économiques et politiques?
Je ne dis pas cela par dédain, je suis moi même dans ce cas.
Ce qui ne veut pas dire qu'il ne faut pas écouter les gens non plus.
Tout les prétendants veulent le bien du pays, mais personne n'est d'accord!
La démocratie, en résumant, c'est demander l'avis au plus grand nombre. Mais plus il y a de monde plus cela devient compliqué, et plus cela risque de tirer le débat vers le bas. En d'autres termes, le nombre des ignorants dépassent largement celui des "réfléchis". C'est une évidence, un constat. Et qui a une vue suffisamment large pour avoir un avis et trancher?

L'idéal serait de mettre les rênes du pouvoir entre les mains de personnes capables et intègres.

Hier, en parlant de la Chine lors d'une rencontre de Yi King, quelqu'un citait un ami qui vivant en Chine depuis longtemps, se moquait de ce qui en était dit vue la méconnaissance des journalistes ou des rapporteurs à ce sujet. Les pays dits démocratiques ont une forme de complexe de supériorité et voudraient faire croire aux autres que c'est le must des systèmes.
Et d'expliquer comment des décisions peuvent se prendre en Chine, non pas à la majorité, mais sur d'autres critères qui s'avèrent par contre admis de ceux qui participent au système.
Cela ne veut aucunement dire cautionner des abus.

Le risque de la démocratie, c'est la démagogie, mais cela n'a pas l'air de déranger grand monde...

vendredi 11 mai 2012

Iris



Iris au matin

Je m'entraîne...

L'art de la vie du poète, 
c'est d'être occupé sans avoir rien à faire.

Thoreau

jeudi 10 mai 2012

Accomplir

Accomplir...
Accomplir un projet, un rêve, une mission, c'est aller jusqu'au bout. Cela sous entend un certain travail, un certain effort. Il s'agit d'une oeuvre particulière. On ne parle pas d'accomplir si on balaie sa chambre, par exemple.
Dans le mot accomplir, on retrouve complet, et donc plein, comme on l'a vu. Complet, complètement, ont une connotation forte, car cela sous entend qu'il n'y a rien d'autre, qu'il y a une finitude. C'est dans ce sens que ces mots évoquent une profondeur qui peut nous dépasser.
Car si on s'accorde à dire que le manque est le propre de l'homme, c'est qu'il y a un complet quelque part, un fini, un non manque, comme je le disais dans l'article d'hier.
Daniel Morin, il y a déjà quelques années, parlait de son état en ce sens : "Quoiqu'il arrive, rien ne manque!"
Phrase extrêmement forte. Cela signifie qu'il existe un état de complétude, de satisfaction totale. Mais une satisfaction d'un autre ordre que ce que l'on peut vivre habituellement.

Bernard Moitessier, marin de référence pour beaucoup de par ce qu'il a su transmettre de son expérience (voir les posts à ce sujet), a écrit après ses dix mois passés en mer autour du monde : "Il y a deux choses terribles dans la vie d'un homme : ne pas avoir réalisé son rêve, et avoir réalisé son rêve."
On peut comprendre qu'un grand rêve non vécu peut être vécu comme un échec. Le fait de dire que l'avoir réalisé est aussi quelque chose de terrible, montre bien le côté insatiable de l'homme, que même après un exploit, ou en tout cas son exploit personnel, à un moment donné, après un certain temps, le manque, la non satisfaction profonde, est toujours là.
Mais il faut passer par là pour le réaliser. De même que l'argent ne fait pas le bonheur, l'accomplissement des désirs ne rend pas libre du désir.
C'est pourtant nécessaire à un certain accomplissement.
L'homme étant un être de désirs, il doit s'incarner le mieux possible dans cet aspect important de lui même.
Réaliser jusqu'au bout ce qu'il porte en lui même. Accomplir sa vie est de cet ordre là. Ce qui n'est pas facile.
C'est découvrir aussi ses limites. Mais avant de s'avouer vaincu, a t'on tout tenté? Il y a des essais qui sont de l'ordre de l'accomplissement. Car la vie informe alors nos cellules et notre conscience que l'on n'a pas pu faire plus, et ce manque là va s'atténuer et disparaître, en tout cas ne posera plus de problèmes.
A chacun son propre accomplissement.

Un être accompli est manifestement quelqu'un qui a été au bout de tout ce qu'il portait en lui de vivre, et du coup est en paix avec lui même, et avec le monde. C'est ainsi que je l'imagine en tout cas.

mercredi 9 mai 2012

Exploit

Regardant l'étymologie du mot exploit, j'en arrive au mot accompli, dont les sens se rejoignent.

Exploit vient du latin expletus qui signifie accompli, parfait, comblé, qui sont des termes très forts. On retrouve plusieurs mots en latin comme expleo, impleo, repleo, supleo, dont le sens est lié. Ils viennent du verbe pleo, dont la racine indo-européenne est pel qui signifie : verser, emplir, plein, donnant en latin plenus (plein), plebs (foule, plèbe), plerus (beaucoup), plus... et en grec poly (beaucoup, plusieurs), polis (la cité, la ville, car il y a beaucoup de gens), et aussi politique...

L'idée est donc d'être plein, rempli, comblé, satisfait, complet.
Cela sous entend bien le fait que l'on peut ne pas l'être. Tout dépend bien sur de quel niveau on parle. L'idée de remplir quelque chose était sans doute liée initialement à un contenant qui servait à conserver un aliment. On remplit un sac, et on se remplit la panse. Mais le sens dépasse le seul fait d'être plein. Surtout que associé à la faim, c'est quand même quelque chose qui revient vite.
Combler nous renvoie à l'idée du manque, satisfait à insatisfait, et complet, complétude à incomplet.

Si l'on revient au mot exploit, nous ne sommes plus du tout dans quelque chose d'ordinaire, car l'acte lui même demande vaillance, courage, effort, audace, dépassement de soi, pour arriver à un résultat souvent hors du commun, et qui amène une reconnaissance extérieure. Cela renvoie à l'idée du héros.
On peut imaginer que celui qui réalise un exploit, quel qu'il soit, connait un état de satisfaction, de complétude, qui est d'un autre ordre, que le simple fait d'être rassasié.

A chacun ses exploits, puisqu'il est inutile de comparer.
Il semble que la notion de manque soit inhérente à la condition humaine, ce qui appelle bien la notion de complétude. Et nous savons qu'ultimement le besoin d'être comblé, à quelques niveaux que ce soit, est bien une recherche d'être dans le non manque absolu.

Quand au mot accomplir, il faut en reparler...

lundi 7 mai 2012

juste deux lettres

Si un président n'a pas d'idées, reste le présent!

Petite explication :

Si un PRESidENT
n'a pas d'ID
reste le PRESENT

dimanche 6 mai 2012

Comparaisons de thèmes


Cela fait plusieurs années que je regarde les élections par rapport à l'astrologie chinoise. Je ne suis pas le seul dans notre école de Feng Shui puisque d'autres regardent dans leur propre pays.
Nous avons donc étudié les thèmes de Sarkozy et de Hollande.
Je ne vais pas rentrer dans le détail car c'est assez complexe, mais donner quelques lignes.

Nicolas Sarkozy est associé à l'élément Terre, et il en a beaucoup dans son thème, elle est forte. On peut dire qu'il a des capacités de travail fortes, qu'il est tenace et têtu.
Cette année il y a un élément qui fatigue cette terre.
Il a changé de période de destinée l'an dernier, et depuis son pouvoir et sa carrière s'opposent, ce qui n'était pas le cas avant. Il est donc dans une période défavorable jusqu'à 66 ans (il en a 57), la période suivante lui sera par contre favorable.

François Hollande est associé à l'élément Métal. Il a un thème particulier où l'eau représente sa carrière et lui convient bien en tant que soutien (ce qui n'est pas la règle normalement).
Cette année lui est particulièrement favorable au niveau de sa carrière, il peut en conserver les bénéfices aussi, et enfin sa période de destinée donne une combinaison intéressante.

On peut donc dire que le challenger a plus de chance que le candidat sortant. On verra...

vendredi 4 mai 2012

Intéressant?

Intéressé, inter - esse, être entre, entre quoi?...
Pour être intéressé, faudrait il être d'abord? Et entre quoi ensuite?
Intéressant de se poser la question, non?
Où est notre intérêt dans l'intéressement?
Il me semble qu'il n'y a rien de plus vital que de s'intéresser à.
Autres phrases : "je m'intéresse à" et "cela m'intéresse".
Il me semble là encore que la seconde est plus juste, car on ne décide pas de s'intéresser à quelque chose en particulier, il y a plutôt un phénomène d'attirance, de captation d'intérêt, et donc d'essence qui nous parle en profondeur. Un phénomène d'inter -essence en quelque sorte.
Etre intéressé, c'est vibrer à l'unisson avec quelque chose, c'est être pris d'une certaine manière, et peut être même disparaître en tant qu'entité séparée. C'est donner, ou laisser la place, à ce qui est autre, mais qui nous nourrit. On est dans ce qui nous nourrit, nous fait du bien, nous réconforte dans ce que l'on porte.
Bienheureux les intéressés finalement!

jeudi 3 mai 2012

Un bruit dans le silence

Je viens juste de lire un article sur la communication avec des personnes disparues. Il y a pas mal de témoignages assez troublants sur le sujet. Peut être cela peut-il aider certaines personnes, adoucir la souffrance de la perte d'un proche.
Toujours est-il que je me mets à penser à la présence éventuelle d'une personne morte qui serait "dans la maison" disons. Ajouté au fait que parfois je vois des sortes d'ombres furtives, dont parlait l'article justement.
Dans les deux ou trois secondes après avoir fini l'article, j'entends deux craquements bien distincts derrière moi, bruits que je ne connaissais pas dans cette pièce. Evidemment je fais le lien.
Je suis là depuis une heure et il n'y a eu aucun bruit. Juste à ce moment...
Je n'y prête pas plus d'importance que ça, mais c'est une coïncidence amusante, non?

mercredi 2 mai 2012

si loin de nous

Ouvrez ce lien... de la part d'un ami.
http://www.midwayfilm.com/

voiles au vent

Du vent, du beau temps, et le spectacle commence :
Kite surf, planches à voile et paddle...
Forme tendue et régulière face au vent.
On dirait des écouteurs
Quand la musique s'arrête,
c'est plutôt un casque...



mardi 1 mai 2012

Pas de mais à aimer

Te souviens-tu du premier "mais"?
Et de la première fois où tu as aimé?
O le mois d'aimer, le bien nommé
Mai composé de trois lettres
Aime haï
Aime,
En anglais, "aim" signifie but,
Comme une invitation dont le but serait :
Aime