mercredi 26 décembre 2012

dur, dur...


Dés qu'il y a un "pourvu que ça dure", nous voilà mal barrés!

Alexandre Jollien (Le philosophe nu)

2 commentaires:

  1. Bonjour Yannick,
    Oui, c'est un peu contraire à l'impermanence cette affaire...
    Bien chaleureusement, Oliver

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  2. Merci Oliver, tu vas avoir le prix de la fidélité, je sens ça!

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