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mardi 26 avril 2016

La Maison écologique





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jeudi 21 avril 2016

Ivres paradis, bonheurs héroïques


« Pas d’existence sans épreuves, pas d’affection sans abandon, pas de lien sans déchirure, pas de société sans solitude. 

La vie est un champ de bataille où naissent les héros qui meurent pour que l’on vive.

Mes héros vivent dans un monde de récits merveilleux et terrifiants. Ils sont faits du même sang que le mien, nous traversons les mêmes épreuves de l’abandon, de la malveillance des hommes et de l’injustice des sociétés. Leur épopée me raconte qu’il est possible de s’élever au-dessus de la fadeur des jours et du malheur de vivre.

Quand ils parlent des merveilleux malheurs dont ils ont triomphé, nos héros nous montrent le chemin. » B. C.


Chacun de nous a besoin de héros pour vivre, l’enfant pour se construire, l’adulte pour se réparer. 
Les héros nous apportent l’espoir, le rêve, la force. 
Attention cependant aux faux héros, attiseurs de violence et de haine, pourvoyeurs du pire.
Un livre saisissant. 


Boris Cyrulnik est neuropsychiatre et directeur d’enseignement à l’université de Toulon. Il est l’auteur de nombreux ouvrages qui ont tous été d’immenses succès, notamment Un merveilleux malheur, Les Vilains Petits Canards, Parler d’amour au bord du gouffre, mais aussi Sauve-toi, la vie t’appelle et, plus récemment, Les âmes blessées. 

Je viens d'entendre Boris Cyrulnik sur France Inter qui parlait de son dernier livre à propos des héros. Je suis toujours séduit par ses dires, par sa façon de parler de choses graves (au sens de pesantes) avec une voix douce et rassurante.
Toujours cette histoire de dépassement de soi, finalement, à observer chez un modèle, à intégrer ensuite dans le déroulement de son grandir.

Il est ce soir sur la Cinq dans La Grande Librairie.

dimanche 10 avril 2016

Improviser


Keith Jarett : un as de l'improvisation...

samedi 9 avril 2016

Montenegro magique

Suite à la guerre, l'ex Yougolavie a été divisée en plusieurs pays.  
Depuis la frontière italienne il faut traverser un petit bout de la Slovénie, qui a un accès à la mer à côté de Trieste, puis la Croatie, qui bénéficie d'une longue côte maritime devenue touristique, un petit bout de Bosnie - Herzégovine avant une petite bande de Croatie avec Dubrovnik, le Montenegro, l'Albanie, et la Macédoine. Autant de postes frontières et d'éventuels ralentissements selon l'heure. J'ai plutôt eu de la chance de ce côté-là.

Au sud de Dubrovnik se situe une sorte de fjord, que j'allais découvrir en allant vers Kotor.

La forme de ce lac maritime est tout à fait étonnante, comme un noeud papillon.

Alors que j'arrivais à la partie la plus resserrée de ce goulet, 
je découvrais deux îlots au milieu de cette mer intérieure qui n'en finissait plus.

A la vue de cette église au raz de l'eau dans un site grandiose,
ce voyage prenait d'un coup une dimension magique!

Juste à côté un îlot bien protégé par des murs et des arbres,
à l'inverse du premier ouvert et sans un arbre!

Après avoir fait le tour de la baie, je découvrais les autres faces de ces deux îlots.

Les îles Saint Georges et Notre Dame du Rocher,
une église catholique et un monastère bénédictin.

mercredi 6 avril 2016

En route pour la Grèce : Dubrovnik

Les fenêtres semblent raconter une histoire tellement elles sont différentes. Elles sont les yeux d'une façade, parfois ouvertes, parfois fermées, parfois fausses pour composer avec un ensemble comme un décor de théatre. Elles sont révélatrices d'une classe sociale, suivant leur taille, leur forme, leur étage, leur nombre.


Cette façade semble se terminer par des vagues, comme une chevelure.


Quelques fenêtres anecdotiques

mardi 5 avril 2016

En route pour la Grèce : Dubrovnik

Levé très tôt pour découvrir la ville vidée de ses touristes, j'arpentais de nouveau ses rues et ses places. En fait il n'y a qu'une grande rue, sur un ancien marais, reliant deux places. Très vite ce ne sont que ruelles et escaliers.


L'ancienne citerne de la  ville

Les tables des restaurants attendent une nouvelle journée

D'autres dorment encore, attachées pour la nuit.


lundi 4 avril 2016

En route pour la Grèce : Dubrovnik

J'arrivais en soirée dans l'ancienne Raguse, trouvais une place par miracle assez près d'une entrée, et commençais la visite alors que le soleil se couchait. Cette ville fortifiée, fut rivale de Venise, et régulièrement convoitée au cours des siècles jusqu'à récemment. Aujourd'hui, inscrite au Patrimoine National de l'UNESCO, elle attire beaucoup de touristes.

Les murailles entourent toute la ville,
ne laissant aucune vue sur la mer au habitations.



Places et ruelles se transforment le soir en restaurants sympathiques.

dimanche 3 avril 2016

En route pour la Grèce : la Croatie

Poursuivant ma route, j'arrivais le soir à Trieste, près de la frontière avec la Slovénie. Je cherchais un endroit tranquille pour dormir dans la voiture.
Le lendemain je voulais longer la côte de la Croatie jusqu'à Dubrovnik, environ 800 km. En été, longer la mer c'est se heurter inévitablement à un flot de voitures. Si on ajoute le fait de la montagne, des virages incessants, des villages, des restrictions de vitesse, il n'est pas possible de tenir une moyenne suffisante pour une telle distance. La côte n'est pas si jolie que ça - arrêtons l'imaginaire (le mien en l'occurrence) - et je me dis qu'il faut rejoindre l'intérieur du pays de l'autre côté de la montagne.

J'allais découvrir bientôt une route quasi déserte, traversant une nature de plus en plus sauvage, avec de rares villages. Conduire dans cet espace où l'humain se voit peu, donne une sensation de liberté que l'on ne trouve plus dans nos régions sur-habitées, hormis quelques routes de montagne.

Un lac avec des plages et une eau si bleue, comme la mer.

Voyager, c'est s'imprégner de contrées nouvelles, de lieux restés authentiques, qui sentent la vie avant qu'elle ne s'emballe dans la modernité. Lorsque la route me fit rejoindre Split, avec ces routes à quatre voies annonçant la grande ville et le retour à la civilisation, je pris tout de suite la direction de Dubrovnik, sans m'arrêter. Encore deux cent kilomètres en bordure de côte, et quelques centaines de virages... Entre conduire ou regarder la mer, il faut choisir. Il faudrait voyager à pied ou en vélo!

Le long de la côte croate, il y a quelques pépites...

samedi 2 avril 2016

En route pour la Grèce

Après avoir quitté Ravenne, je pris la direction du nord, celle de Venise, mais sans m'y arrêter.
Je suis déjà venu dans la cité des Doges, pour découvrir, pour traîner, pour voir les îles...
Le spectacle des gondoles, l'eau partout présente, les palais qui flottent et s'effritent lentement...

Amarrées sagement, les gondoles toutes de noir vêtues.

Les fenêtres rythment les façades richement décorées.

Ces pontons de bois qui annoncent une traversée  debout peut être...

Les touristes retiennent leur souffle devant le pont des soupirs...

Qui verra le lion ailé et la salamandre, symbolisant le ciel et la terre
au sommet des poteaux, à l'entrée de la place Saint Marc?

vendredi 1 avril 2016

En route pour la Grèce

On voit des mains...
que je n'avais pas remarqué sur place!



Ravenne : 
on lève la tête, 
et des centaines de scènes,
figures, enluminures et autres frises,
apparaissent.