L'amour véritable fait mal.
L'amour véritable vous rend complètement vulnérable et ouvert.
L'amour véritable vous emmène loin, bien au delà de vous-même.
Et par conséquent, l'amour véritable vous dévaste.
Je me mis à penser que si l'amour ne nous anéantit pas,
alors on ne connaît pas l'amour.
Nous avions tous les deux pratiqué la blessure de l'amour,
et j'étais anéanti.
En y repensant, il me semble qu'à cet instant précis,
nous mourûmes tous les deux.
Grâce et courage de Ken Wilber (page 625)
2 commentaires:
Bonjour Yannick
En ce moment je suis en train de relire : Divine blessure ' de Jacqueline kelen
Devrais-je le dire, je n'ai quasiment pas lu JK, juste écouté un peu... Mais le titre, que je connais, me parle.
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