La nature prit une plume pour écrire
Le vent fit le reste
du simple trait
aux rayures
au balayage
Quand à cet insecte qui avance sur le dos avec l'énergie du désespoir,
je me suis permis de le retourner.
Il ne bougea pas pendant quinze secondes,
puis à peine une patte,
feignant la mort.
Au bout d'une minute il s'envola brusquement
4 commentaires:
Superbes photos Yannick
La nature est le plus grand des artistes.
Merci.
D'une grande finesse...
Superbe !
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