Syracuse
Un peu plus tard au coucher du soleil, des dauphins viennent nous accompagner. Toujours aussi joueurs, avec cette facilité qui donne envie d'être comme eux.
Dans la nuit nous apercevons une lumière qui ressemble à une bouée au loin. On regarde la carte, les fonds, il n'y a strictement rien d'indiqué. Cette lumière dont on se rapprochait au départ, finit par être en mouvement, donc c'est un bateau. Mais un bateau a des feux rouge et vert pour indiquer babord et tribord, et donc savoir dans quel sens il va; là on ne voit aucun autre feu que blanc. Cela semble être assez haut. On commence à faire des suppositions : bateau pirate, porte avions, livraison de produit douteux vers la Lybie, ou pour la maffia (il y a du traffic dans le secteur). Mon imagination galope pour sortir des choses invraisemblables. Petit à petit on découvre une structure métallique en hauteur qui doit être une plate forme pétrolière. Au loin apparait une lumière très puissante. Le tout avançant, on comprend qu'il s'agit d'une plate forme tirée par un remorqueur éclairant le cable avec un énorme projecteur.
Ils passent près de l'île de Pantelleria, et nous pointons vers l'extrèmité sud est de la Sicile.
Navigation sans problème. La pêche, que nous expérimentons depuis Gibraltar, ne donne toujours rien, bien que nous ayons perdu 2 hameçons.
Le canal de Sicile est fréquenté par les cargos puisque c'est un passage obligé en direction de l'Adriatique, le Moyen Orient et la Mer Noire. Il ne s'agit pas de s'endormir. Je trouve que la plupart ne vont pas si vite que ça. La skipper me dit qu'ils ont réduit leur vitesse du fait de l'augmentation du pétrole, afin de faire des économies.
Au petit matin du troisième jour nous arrivons à Syracuse que j'ai hâte de découvrir...
Après une escale de 2 jours à Sidi Bou Said, nous repartons pour Syracuse, au sud de la Sicile. Nous traversons le golfe de Tunis et croisons un énorme paquebot qui ressemble à un immeuble flottant avec une douzaine d'étages. Ces bateaux sont de vraies villes, avec restaurants, commerces, casino, distractions de toute sorte, salle de muscu, piscines, etc... Une sorte de gigantesque centre commercial avec paillettes et musique à la guimauve!
Un peu plus tard au coucher du soleil, des dauphins viennent nous accompagner. Toujours aussi joueurs, avec cette facilité qui donne envie d'être comme eux.
Dans la nuit nous apercevons une lumière qui ressemble à une bouée au loin. On regarde la carte, les fonds, il n'y a strictement rien d'indiqué. Cette lumière dont on se rapprochait au départ, finit par être en mouvement, donc c'est un bateau. Mais un bateau a des feux rouge et vert pour indiquer babord et tribord, et donc savoir dans quel sens il va; là on ne voit aucun autre feu que blanc. Cela semble être assez haut. On commence à faire des suppositions : bateau pirate, porte avions, livraison de produit douteux vers la Lybie, ou pour la maffia (il y a du traffic dans le secteur). Mon imagination galope pour sortir des choses invraisemblables. Petit à petit on découvre une structure métallique en hauteur qui doit être une plate forme pétrolière. Au loin apparait une lumière très puissante. Le tout avançant, on comprend qu'il s'agit d'une plate forme tirée par un remorqueur éclairant le cable avec un énorme projecteur.
Ils passent près de l'île de Pantelleria, et nous pointons vers l'extrèmité sud est de la Sicile.
Navigation sans problème. La pêche, que nous expérimentons depuis Gibraltar, ne donne toujours rien, bien que nous ayons perdu 2 hameçons.
Le canal de Sicile est fréquenté par les cargos puisque c'est un passage obligé en direction de l'Adriatique, le Moyen Orient et la Mer Noire. Il ne s'agit pas de s'endormir. Je trouve que la plupart ne vont pas si vite que ça. La skipper me dit qu'ils ont réduit leur vitesse du fait de l'augmentation du pétrole, afin de faire des économies.
Au petit matin du troisième jour nous arrivons à Syracuse que j'ai hâte de découvrir...
1 commentaire:
quel beau voyage !
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