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vendredi 29 mai 2020

100 km, pas plus!

Ne pas se déplacer à plus de 100 km, ça y est c'est bientôt fini... Mardi ça repart.
Mais on pourrait garder le principe pour la nourriture par exemple. Non, cela semble impossible, à part les végétariens convaincus et autres vegans, les gens mourraient vite de faim. Vous imaginez si on supprimait des étalages de grandes surfaces tout ce qui vient de plus de 100 km, il ne resterait pas grand chose. 
Produire local, c'est quoi au juste : le département, la région, le pays? Savons-nous tout ce qui arrive de Chine exactement, dans ce que nous consommons? Tout s'est fait progressivement, et puis maintenant c'est là, tout ou presque vient d'ailleurs, les semences, la nourriture, la viande, les vêtements, les meubles, les objets, les téléphones, les ordinateurs, l'uranium et donc le nucléaire et donc l'électricité, les voitures (pour la plupart, ou les pièces), etc... 
Peut-on freiner cette machine gigantesque, et comment? 
On entend souvent, depuis au moins 20 ans, cette fameuse phrase :"Il est encore temps d'agir."
Mais on voit bien que les changements attendus, espérés, ne sont pas à la hauteur des catastrophes ou des risques annoncés. J'appelle cela la force d'inertie. Bien sûr il y a quelques changements, visibles certes, mais trop faibles. 
Je crois plus à l'inattendu, comme les tempêtes. A priori les virus sont inattendus, et la gestion du Covid 19 a bel et bien provoqué un arrêt jamais vu encore dans l'économie mondiale. Comme quoi tout peut arriver! Est-ce que cela va changer le monde en profondeur, j'en doute. Ceux qui dirigent sont uniquement dans le faire, et le peuple aussi pour la plupart. Alors attendons un peu la suite, car vous avez sûrement remarqué qu'il se passe de plus en plus de choses en même temps, je parle de ces choses que l'on ne maîtrise pas bien sûr. L'incertitude aura le dessus... 
Il s'agit de rester calme dans la précipitation du monde.


Il va falloir inventer de nouveaux panneaux!

dimanche 24 mai 2020

Quand la vie répond à nos besoins


Si vous ne croyez pas que nos besoins peuvent être comblés par la vie, demandez à Anthony Hopkins. En 1973, à Londres, le célèbre acteur est engagé pour jouer dans "The girl from Petrovka", l'adaptation à l'écran du roman de l'écrivain britannique Georges Feifer. Pour s'imprégner de l'histoire, Hopkins cherche à se procurer l'ouvrage. Il visite plusieurs librairies, peine perdue. Alors qu'il se dirige vers le métro pour rentrer chez lui, il passe près d'un banc public et aperçoit un vieil exemplaire usé et annoté du roman, abandonné là! 
"Mais ce n'est pas le plus incroyable, ajoute Hopkins. Presque un an plus tard, au cours du tournage à Vienne, j'ai eu la chance de rencontrer Georges Feifer en personne. Je lui raconte combien il m'avait été difficile de trouver son livre, et comment le hasard m'en avait fait découvrir un. Il me répond que lui-même n'en avait plus : il avait prêté son seul exemplaire à un ami, qui se l'était fait voler dans sa voiture. J'ai sorti de mon sac celui que j'avais trouvé. C'était le sien."



dimanche 17 mai 2020

Les singes de la sagesse


Les singes de la sagesse (aussi appelés « les trois petits singes ») est un symbole d'origine asiatique constitué de trois singes, dont chacun se couvre une partie différente du visage avec les mains : le premier les yeux, le deuxième la bouche et le troisième les oreilles. Ils forment une sorte de maxime picturale. A celui qui suit cette maxime, il n'arriverait que du bien.
« Ne pas voir le Mal, ne pas entendre le Mal, ne pas dire le Mal »

Ce thème est originaire de Chine. La plus ancienne trace connue est dans les Entretiens de Confucius, écrits entre 479 av. J.-C. et 221.Il y est écrit : 
« De ce qui est contraire à la bienséance
ne pas regarder, ne pas écouter, ne pas le dire, ne pas le faire". 

mercredi 13 mai 2020

L'homme qui maîtrisait le temps


La nature est surtout intéressante quand elle devient impitoyable. 
Dans cette vie là, j'ai fait beaucoup de choses dangereuses. 
Le danger c'est une des bases de ma philosophie, 
parce que l'être humain progresse le mieux dans l'incertitude que dans la certitude. 
C'est quand on est tout à fait sûr d'une chose qu'on s'endort.

N'essaie pas de posséder, c'est inutile, tu perds ton temps. 
Essaie plutôt la gratitude pour chaque minute qui passe.

Paul
La folle vie d'un aventurier philosophe de 95 ans

dimanche 10 mai 2020

Bas les masques

Ne pas s'approcher des autres, ne pas se toucher, ne pas se prendre dans les bras, ne pas s'embrasser....
Il paraît que ça s'appelle les gestes barrières! On nous oblige à la séparation, à la relation virtuelle par écran séparé. Mais dans quel monde vivons nous tout d'un coup?
Il faut même sortir avec un papier officiel. Tu fais la même chose sans papier, tu es hors la loi et tu es verbalisé de 135 euros. C'est quand même fou! Il y a des ordres d'en haut, comme on dit, et les chiens de garde exécutent. Même les drones sont utilisés pour rappeler les gens à l'ordre ou les surveiller. En voila une belle invention! L'autoritarisme s'est installé, sous couvert de protection sanitaire, qui permet d'instituer docilité, peur et passivité. Les médias désinforment de façon honteuse. Certains porteurs de messages différents ou lanceurs d'alerte se font supprimer sur youtube ou interner, ou critiquer, ou moquer officiellement (pour cause de cheveux longs par exemple...).
Qu'y a-t-il derrière tout çà?
Quand on en est à instaurer l'interdiction des plages alors que les transports en commun reprennent demain, c'est tellement idiot que l'on peut en déduire que le problème est ailleurs.
Il fût un temps où les hors la loi portaient un masque, il semble qu'aujourd'hui ce soit l'inverse.


     
                    
                        La vie ou la mort?                                                  C'est bon, vous pouvez circuler!

         Ne craignez rien, je vous parle en ami,
                      Je n'ai rien à cacher!

 C'est moi qui ai le plus beau masque. Non c'est moi!

                                                                                           Tu vois ils se moquaient de nous,
                                                                                                       mais ils y viennent...




dimanche 3 mai 2020

vendredi 1 mai 2020