DÉLITS D'ÉLUS ET PILLEURS D'ÉTAT, PHILIPPE PASCOT DIT TOUT !
Philippe Pascot présente ses livres sur la mafia des élus (1h07) et dénonce les abus du système politique en France. Il a écrit deux livres, Délits d'élus et Pilleurs d’État, dans lesquels il recense les incroyables abus, privilèges, corruptions, affaires judiciaires des élus et politiciens français. Son nouveau livre se nomme Du goudron et des plumes.
Maire adjoint d'Évry auprès de Manuel Valls pendant 9 ans, ancien conseiller régional, Chevalier des Arts et des Lettres, Philippe Pascot a 25 ans de vie politique derrière lui et a fréquenté la plupart des élus politiques de premier plan. Il milite pour une transparence totale de l'exercice politique et est engagé dans de nombreux combats de société. Ses ouvrages recensent tous les abus dont la classe politique française profite sur votre dos, dont leurs affaires judiciaires, malgré qu'elles ou ils soient réélu(e)s, leurs aberrants et inconnus privilèges, les lois faites pour eux, etc.
Dans ces quelques vidéos présentées sur cette page, car il y en a d'autres, on apprend que le salaire minimum d'un député est de 13.500€ pour 21% de temps de travail, que vingt députés gagnent 800.000€ par mois, qu'un élu paie 2 fois moins d'impôts qu'un salarié, qu'un seul sénateur peut voter pour 100 autres, que 160 députés se sont payés des villas ou appartements avec l'IRFM, qu'un élu a le droit de cumuler 5 retraites sans plafonnement, et que certains sont des délinquants récidivistes qui se font réélire sans difficulté, sans oublier la députée PS, Sylvie Andrieux, qui se rend à l'Assemblée avec un bracelet électronique, pourtant condamnée par la justice, etc.
Son premier livre, Délits d'élus, écrit avec la journaliste Graziella Riou Harchaoui, dresse une liste non exhaustive de politiciens à partir de faits avérés, jugés ou en passe de l'être et relayés par les médias. Ce premier volet s'attarde sur 400 d'entre eux, dont environ 200 sont présents sur des listes en 2014. "Plus tu es un truand, plus tu as de chances d'être réélu !" Dit-il ! Élus mis en examen et/ou en garde à vue, placés en détention provisoire, condamnés pour trafic d’influence, impliqués dans des affaires de mœurs, pour avoir truqué des marchés publics ou confondu leur compte en banque avec celui de la collectivité qu’ils administrent..., ce livre démontre qu’aucun parti n’échappe aux dérives et/ou aux tentations qu’offrent l’accès au pouvoir et à l’argent public, le vôtre ! Sans concession ni parti pris, les auteurs rappellent que le meilleur allié des élus condamnés ou mis en examen est l’ignorance des électeurs et/ou leur "capacité à l’oubli." Leur propos est donc de remémorer les faits. (Pour acheter les livres : maxmilo.com)
Son deuxième livre, Pilleurs d’État, dénonce les incroyables abus, privilèges, et corruptions des élus et politiciens français. "Si tous les élus ne sont pas pourris, beaucoup sont complices !" Dit-il. Philippe Pascot recense dans cet ouvrage les abus "légaux" dans lesquels tombe la classe politique française : Salaire exorbitant, exonération d’impôts, retraite douillette, cumuls, emplois fictifs, déclarations d’intérêts et d’activités bidons et tant d’autres petits arrangements entre amis. Derrière une volonté affichée de transparence et de moralisation de la sphère politique, nos élus entretiennent leurs propres intérêts au travers de lois de plus en plus incompréhensibles, quand nous, simples citoyens, devons nous serrer la ceinture. "Plus les gens se taisent, plus la dictature s'installe !" Dit-il !
C'est avec ce genre d'informations et de vidéos que l'on peut prendre conscience que la spécialité des hommes politiques est la maitrise du langage, de la propagande, et de la désinformation. Ils ont l'art, la manière, et le savoir faire, pour toujours se faire passer pour des vertueux, des serviteurs, alors qu'ils sont très souvent incompétents, qu'ils sont essentiellement intéressés, qu'ils se servent, usent et abusent, quelles que soient les conditions de votre argent, de vos impôts. Ils nieront, emploieront même une dialectique telle que "dire que les politiciens sont tous pourris, ce n'est pas vrai", alors qu'objectivement, les faits parlent contre eux, et que plus l'on monte dans la pyramide des élus, plus la probabilité qu'ils abusent du système et se servent à la place de nous servir, est avéré.
En dehors d'une ultra-minorité, nous ne pouvons plus du tout faire confiance à la majorité de nos élus. Le fossé entre les élus et les citoyens se creuse de jour en jour. Les mensonges récurrents, les tromperies, les propagandes, les promesses jamais tenues, ont lassé avec raison nombre de nos concitoyens. (agoravox)
Les révélations sur le train de vie des élus sont choquantes ! Et tout cela, sans compter leurs avantages : Chauffeur et voiture de fonction, restaurant, voyages, internet et téléphone, vêtements, primes, versements faits par les lobbies et les multinationales, pas de peine judiciaire ou peu pour les élus politiques délinquants, même récidivistes... Citoyen(nes), continuez à vous priver pour eux si vous appréciez leur système, sinon, réagissez si cela ne vous plait pas. Levez-vous, sans attendre l'autre... ! "Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice !" George Orwell
Universitaire, historien, traducteur et auteur, spécialisé dans la traduction des premiers codex bibliques en hébreu ancien.
Ayant travaillé pour le Vatican à traduire quelque 23 livres de la bible, il s'est aperçu que les traductions et interprétations existantes de nombreux récits du meilleur best-seller de tous les temps avaient été déformées, souvent délibérément, afin d'y inclure le concept d'une divinité spirituelle infaillible et toute puissante.
Le Vatican a dans le passé approuvé et publié au moins dix-sept des traductions de Mauro Biglino aux très officielles Edizioni San Paolo. Il a suspendu toutes les éditons ultérieures concernant cet auteur à partir du moment où ce dernier a lui-même publié...
Je n'ai pas pour habitude de commenter les actualités, mais ce matin une en particulier suscite en moi quelques réflexions. Il y a trois jours une ville au nord ouest de la Syrie a subi une attaque chimique attribuée à l'armée de Bachar al-Assad, faisant 86 morts parmi les civils, dont 27 enfants, l'hôpital ayant aussi été touché. Indignation générale dans le monde, la France en premier. Que faire? Cette nuit, riposte américaine qui envoie 59 missiles Tomahawk, tirés depuis un bateau en méditerranée, visant du matériel sur une base aérienne syrienne. On apprend par ailleurs que les Américains avaient pris des précautions en prévenant les Russes, munis des renseignements qu'ils avaient déjà à propos de leur cible. Et le journaliste de comparer l'attitude d'Obama qui s'était fâché, puis s'était retiré de son engagement en Syrie, et celle de Trump qui ne veut pas s'engager, puis se fâche vraiment suite à cette attaque syrienne et réagit sans attendre par la force. C'est très difficile de s'opposer à un dictateur, surtout s'il est soutenu par la Russie de Poutine, qui lui même est assez "spécial". Comme de défendre le Tibet du Dalaï Lama quand on est l'obligé économique de la Chine incontournable. Réalisme économique ou droits de l'homme, quand par ailleurs on fabrique et vend des armes!
Je ne suis pas pour la violence ou la vengeance, mais quand quelqu'un dépasse les limites, il faut se fâcher. Jeune j'ai découvert la non-violence de Gandhi, ce qui m'a amené à prendre des positions extrêmes en quelques semaines, comme devenir végétarien, objecteur de conscience puis insoumis, rouler en vélo, etc... Mon cheminement m'a fait découvrir les fonctionnements psychologiques, les peurs, les réactions et différentes attitudes prises pour se protéger. Avoir peur du conflit, peur de la colère, étouffer sa propre violence, et jouer au gentil de service tout en dénonçant l'extérieur, j'ai connu çà. J'ai appris à découvrir des colères justes, comme un coup d'épée dans l'eau, de la part de guides spirituels, ou d'adultes véritables, ce qui m'a fait reconsidérer mes à prioris. On peut avoir de grandes idées mais être timide, mou, avoir peur du qu'en dira t'on, bref manquer de courage dans les actes. On peut aussi fonctionner de façon assez égoïste, s'imposer avec une certaine violence, au risque de dégâts parfois, mais être capable de se fâcher vraiment pour des raisons valables. L'important étant de voir la situation avec le plus de discernement possible.
Humainement parlant tout le monde aimerait que la guerre en Syrie s'arrête, que le terrorisme cesse, que la paix revienne... Qu'est-il possible de faire quand on est au pouvoir d'un pays? C'est très délicat, très compliqué, et je ne me risquerais pas à donner un avis. Par contre, face à un dictateur qui joue sur différents fronts, est responsable de milliers de morts, d'emprisonnements, de tortures, de frappes de civils, etc... qu'un gouvernant se fâche suivi d'un acte conséquent me semble être un possible coup d'arrêt à l'abus de pouvoir, en tout cas devrait amener à réfléchir. C'est comme un gosse mal élevé qui a fait la bêtise de trop, il faut faire montre d'autorité.
Un grand malheur est arrivé à l'abbaye
et j'ai la pénible mission de vous en faire part.
Mardi soir, pendant que l'abbé Nédictine donnait les dernières grâces,
l'abbé Quille perdit l'équilibre dans l'escalier et tomba inanimé dans les bras
du Père Iscope.
Les révérends pères, en perdant l'abbé Quille, perdaient leur seul
soutien.
Un seul restait joyeux : le père Fide.
Quant à l'abbé Tise, il n'y comprenait rien.
Il aurait bien voulu que le saint Plet l'aide à comprendre ce qui s'était passé
mais rien n'y fit.
Après l'accident de l'abbé Quille,
on alla chercher le Père Manganate et le Père Itoine,
les deux médecins de l'abbaye.
Ils pensaient ranimer le malheureux mais leurs efforts furent vains et celui-ci
décéda peu après.
Le lendemain fut donc célébré son enterrement.
Chacun fut appelé à l'abbaye par les célèbres cloches du Père Sonnage.
La messe fut dite sur une musique de l'abbé Thoven.
Le père Ocquet fut chargé du sermon et comme il n'y avait pas de chaire,
il monta sur les épaules du Père Choir.
A la fin de l'homélie, le Père Cepteur fit la quête
et remit les dons ainsi recueillis à notre frère africain, l'abbé
N'Pé.
Après la messe, une grande discussion s'engagea pour le transport de la bière:
l'abbé Canne et l'abbé Trave voulaient passer par les champs.
Le Père Clus s'y opposa.
L'abbé Casse en fut enchanté.
Le Père San avec sa tête de turc ne voulait rien entendre.
Le Père Vers et le Père Nicieux semaient le doute dans les esprits.
Finalement on décida que, comme à l'accoutumée,
l'abbé Taillière serait chargé du transport du corps du défunt.
Devant la tombe creusée par le
Père Forateur
et en l'absence du Père Missionnaire, l'abbé Nédiction donna l'absolution.
Le Père Venche et l'abbé Gonia avaient joliment fleuri la tombe.
Celle-ci fut recouverte d'une belle pierre tombale préparée par l'abbé
Tonneuse.
Sur le chemin du retour, le spectacle fut déchirant.
Le Père Pendiculaire était plié en deux de douleur et de chagrin.
L'abbé Vitré était lui aussi plein de larmes.
La Mère Cédès , invitée pour l'occasion,
fermait la marche en compagnie du frère du Père Igord.
A l'arrivée, le Père Sil et l'abbé Chamelle préparèrent le repas
tout en consultant les livres culinaires du saint Doux.
Le Père Nod et le Père Collateur servirent à boire
et chacun put se remettre de ses émotions.