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mardi 25 février 2025

L'évidence retrouvée


Eric n’est toujours pas installé dans la société. Il va partir en Inde à la rencontre d’un astrologue et d’un homme vivant dans un ashram pour trouver des réponses à ses questions. La vie va lui faire croiser différentes personnes qui vont l’aider dans son cheminement. Apprendre à se connaître, découvrir ses aspirations, semblent incontournables. Mais avons-nous le contrôle sur notre propre vie, ou sommes-nous poussés à agir ? Ainsi ira-t-il jusqu’à se proposer un défi : faire un pèlerinage sans bagage et sans argent. Qui gère quand on se remet à la Providence ? Est-elle liée au hasard, où à ce que l’on porte dans notre cœur ? Et si la confiance dans l’inconnu n’était pas la seule réponse évidente ? Vivre le relatif de sa vie extérieure à partir de l’absolu de sa vie intérieure. Une expérience qu’il va découvrir en se laissant guider par sa petite voix intérieure. Un voyage au-delà de ses espérances.

Cette histoire s’appuie sur un voyage que j’entrepris après mes études. Pas d’avenir rassurant, pas de sécurité financière, être juste à l’écoute de sa profondeur. Et découvrir que là-haut les dieux s’occupent de nous. Faire confiance à la vie, n’est-ce pas l’essentiel ?

Ce livre est un témoignage sur la confiance. Laissez votre porte ouverte, elle ne demande qu’à entrer. 

 Pour en savoir un peu plus, suivez le lien : https://www.simply-crowd.com/produit/levidence-retrouvee/

Les dix premières pages sont accessibles, ainsi que la précommande. C'est une aide pour le trouver ensuite en librairie. A ce jour la mise en page est faite.

samedi 15 février 2025

Sacré changement


 De la chenille au papillon.
Qui n'a pas entendu cette métaphore?

dimanche 9 février 2025

Comment j'ai commencé à méditer



 Je devais être en deuxième année d'études; un jour, sur la porte vitrée d'un restaurant universitaire, je vois une affiche format A4, avec une photo. C'était la photo d'un indien avec une barbe, mais surtout un regard comme je n'en avais jamais vu. Je m'arrête et regarde. L'affiche annonçait une conférence sur la méditation. Je notais les coordonnées et la date.
Quelques jours plus tard je me rendais à l'adresse indiquée. Je m'attendais à voir l'indien de la photo, Maharishi Mahesh Yogi se nommait-il. Mais il n'y avait qu'un jeune homme d'une trentaine d'années, habitant Paris, pour nous présenter la méditation dite transcendantale. Quelle ne fut pas ma déception!
Il expliqua ce qu'était la méditation, les bienfaits, ce que proposait cet indien... Je n'avais jamais entendu parler de tout çà, ni de sage ou de gourou. A la fin il proposa à ceux qui étaient intéressés une soirée d'initiation. C'était un engagement, et c'était payant. Je crois me souvenir que c'était un pourcentage du salaire, ou une somme basique pour les gens qui ne gagnaient rien ou très peu, ce qui était mon cas.
Bien que déçu par l'absence de ce "gourou", je restais curieux et m'inscrivis à la soirée suivante.
Cela se passait dans un appartement cohabité par des étudiants. L'initiation était individuelle, dans une chambre. Il nous était proposé un mantra, et l'on devait méditer deux fois par jour pendant vingt minutes.
On a formé un petit groupe, et nous nous retrouvions régulièrement pour méditer ensemble. C'était aussi l'occasion de manger ensemble et de discuter. C'est ainsi que je me fis quelques amis.
Le jeune homme initiateur nous a proposé par la suite des week ends d'enseignement de Mahesh Yogi avec méditation et yoga. Je me souviens que c'était assez intense, produisant mes premières expériences.
Pour voir Mahesh il fallait aller en Inde, à Rishikesh, nous apprîmes aussi que c'était le gourou des Beatles. Peu à peu nous nous sommes éparpillés dans des enseignements divers, tout en restant amis. C'est ainsi que je découvris les livres d'Arnaud Desjardins.

On peut dire que c'est le hasard qui m'a fait voir cette affiche. En effet c'était un restaurant où je n'allais pas souvent, et ce jour là il y avait peu de monde, alors que, selon l'heure, il pouvait y avoir affluence, et je n'aurais jamais vu l'affiche. Ce fut le début de rencontres hasardeuses, qui bien sûr n'en étaient pas.