Ne pas nommer
Juste voir
En l’absence de tout savoir
Ne plus se souvenir
Se nourrir du passé
C’est mourir au présent
Peu importe d’oublier
Que peut-on retenir
De ces moments qui passent
Ne plus chercher
Juste se contenter
De l’instant absolu
Peux-tu retenir l’incomparable
Eviter l’inévitable
Ou retenir le mouvement
Jusqu’à quand te prendras-tu
Pour quelqu’un d’important
Ou même d’indispensable
Ne pas trop dire
Tu pourrais y croire
Et te perdre toi-même
Observer l’immobile
L’immuable, l’intangible
Rejoindre l’indicible
Ne plus attendre
Juste laisser la vie
Jouer à nous surprendre
Absent de toute emprise
Naissant à chaque instant
Volant avec la brise
Juste voir
En l’absence de tout savoir
Se nourrir du passé
C’est mourir au présent
Que peut-on retenir
De ces moments qui passent
Juste se contenter
De l’instant absolu
Eviter l’inévitable
Ou retenir le mouvement
Pour quelqu’un d’important
Ou même d’indispensable
Tu pourrais y croire
Et te perdre toi-même
L’immuable, l’intangible
Rejoindre l’indicible
Juste laisser la vie
Jouer à nous surprendre
Naissant à chaque instant
Volant avec la brise
2 commentaires:
Bonjour Yannick,
Merci pour ce poème.
Mon adresse mail est
philippe.gilletj@sfr.fr
Je te donnerai mon adresse postale par ton mail.
Kénavo 👋
Merci Philippe.
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