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vendredi 26 novembre 2010

Faire semblant de choisir

Faire le bon choix peut sembler intéressant pour l'ego, mais que va t-il apprendre sinon que cela l'arrange?
Faire un mauvais choix est sans doute plus difficile à vivre, mais peut être plus enrichissant sur notre capacité d'adaptation.
Que sait-on de ce qui peut se passer au final?
Pratiquement ce n'est pas la peine de se compliquer l'existence, et donc choisir ce qui nous convient le mieux.
Mais la vie nous a choisi aussi pour expérimenter des choses, et on n'y échappera pas.
Quoiqu'on fasse ou ne fasse pas, il faut vivre ce qui se présente.
Une petite partie est envisageable, la majeure partie est complètement ouverte, inconnue.
C'est ce qui fait peur. Mais franchement se suffire du connu n'est-il pas lassant?
Rester ouvert en permanence, c'est ne rien retenir.
"Etre ouvert au deux bouts" comme dit Daniel Morin.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je corrige mon précédent message, trés peu clair à la relecture, et je ne sais pas s'il est tellement plus clair maintenant mais bon ..

DES FOIS LA VIE NOUS MONTRE QUE L'ON N'a plus le choix, ou que le choix ne se porte pas sur ce que l'on croyait, et engendre une issue imminente déjà inscrite depuis le début avant même d'avoir fait le choix.
est çe à dire que l'on a fait le mauvais choix en amont ?
Véronique

yannick a dit…

Dans l'absolu je crois qu'il n'y a pas de choix, donc parler de bon ou de mauvais choix se situe au niveau de la dualité. Ensuite on peut faire semblant de faire des choix. A découvrir par soi même de toute façon.