De James Dean à Lady Di...

Le fait qu'une voiture provoque autant d'accidents, dont la plupart sont mortels, ne peut être lié au hasard ou à de simples coïncidences.
Ayant pratiqué la géobiologie pendant 30 ans, j'ai eu l'occasion d'être confronté à ce qu'on appelle la mémoire des murs, à des phénomènes dits paranormaux, et une amie, qui s'est formée en même temps que moi, m'a raconté un jour comment elle a été confrontée un jour à un phénomène de magie noire. C'est très puissant. Je ne m'intéresse pas à tous ces phénomènes étranges, et parfois malheureux, mais je sais que cela existe.
Il est évident que cette voiture a été chargée de façon maléfique. Je n'en dirais pas plus.

Après avoir lu ce chapitre du livre, on était dimanche, il se trouve que j'ai regardé le programme de la télévision. Il y avait plusieurs émissions à propos de la mort de la princesse Dyana puisque cela faisait 20 ans qu'elle était morte. Une émission parlait du mystère enfin dévoilé au sujet de l'accident. Je regarde la présentation qui parle de cette voiture déjà accidentée. Cela fait bien sûr écho et j'allume la télé pour regarder l'émission qui était commencée.

La fameuse Mercédes qui transportait Lady Di et son ami Dodi Al Fayed avait une histoire qui ne fut pas recherchée pendant longtemps. Cette voiture a eu un premier propriétaire, qui s'est fait braquer, puis voler l'engin. Le voleur s'enfuit avec, roule vite, et finit par avoir un accident sur une route départementale en faisant plusieurs tonneaux. La voiture est fichue, et le propriétaire donne son accord pour qu'elle soit détruite. Sauf que la voiture vaut 80 000 euros, et que ça vaut le coup de la réparer pour la revendre, ce que fait l'entreprise épaviste au lieu de la détruire (il paraît que cela se faisait à l'époque, aujourd'hui ce serait interdit).

Le propriétaire touche son assurance, et n'est au courant de rien.
La voiture réparée, est revendue et finit par être rachetée par une société qui travaille avec l'hôtel du Ritz pour son service de voitures. Un chauffeur la trouve un peu bizarre, pas sécurisante, au dessus de 70 km/h, et en parle au directeur. D'autres chauffeurs ayant la même impression, on lui fait passer un test de sécurité. Rien n'est trouvé. Cette impression continuant à se faire sentir, le chauffeur demande au directeur de la revendre, mais il ne l'écoute pas. On connaît la suite. Le conducteur de la voiture, ce fameux soir du 30 aout 1997, est le chef de la sécurité du Ritz, un homme rappelé de congé sous l'influence de l'alcool et de médicaments (anti-dépresseur). Dodi lui demande de changer l'itinéraire prévu et d'aller vite pour fuir les paparazzi. L'accident arrive sous le pont de l'Alma. Ce n'était pas la voiture prévue initialement, ni le chauffeur...
Le chauffeur interviewé dans l'émission, quitte la société où il travaillait et finit par parler. Un journaliste français, Jean Michel Caradec'h, refait l'enquête récemment, et remonte l'histoire de la voiture volée, accidentée, réparée, sans doute pas complètement, puis revendue, mais devenue dangereuse, jusqu'à l'accident qui fera 3 morts.

Qui est responsable?

Je fus étonné de la synchronicité me conduisant à acheter ce livre, tout à fait par hasard, ne le cherchant pas, pas mis en évidence, puis à découvrir cette histoire de la voiture de James Dean, et finalement celle dans laquelle mourut Dyana. Mais il n'y a pas de hasard, n'est-ce pas?
Lady Di, comme James Dean, est devenue un mythe. Ses funérailles nationales rassemblent 3 millions de personnes à Londres, après avoir fait trembler la toute rigide royauté sur son socle.
Elle est morte jeune, à 36 ans, et était appréciée d'un public international nombreux, sans doute pour sa dimension caritative, mais surtout humaine et sensible, tout en étant mal dans sa peau. Elle était bien plus aimée que son ex mari, le prince Charles, bien que ne faisant pas partie de la famille royale.
Ces deux "héros" représentaient chacun une figure emblématique qui dépassa les frontières.

Enfin, leur dernier point commun est d'ordre astrologique. Comme pour Dean, Dyana est un Bois faible, il ne lui faut surtout pas de métal. Le jour de sa mort, le 31 aout, il y a du métal partout, des combinaisons de métal entre la date et celle de sa naissance, là encore c'était trop pour survivre.

On n'échappe pas à son destin, qui est exactement celui qui arrive, et pas celui qu'on aimerait qui arrive. Tous les concours de circonstances, tous les imprévus, apparents, participent de l'histoire totale. Pourquoi lutter ou vouloir autre chose? La vie ne nous appartient pas.