Cela passe toujours par un nombre impair
qui ramène à l'unité.
Les figures répétitives sont une invitation à se perdre,
Le mental ne s'accrochant à rien,
L'oeil est alors absorbé par la lumière.
3 cercles au dessus
On retrouve un fronton
On retrouve une voute
On y voit des colonnes
La base est plate comme la terre,
Le sommet est rond comme le ciel.
Inévitablement le regard est tiré vers le haut!
à l'allure de dentelle,
nous font oublier le travail de la pierre.
Tant il est vrai que la lumière
nous fait oublier l'ombre
qui la met en valeur.
Les bougies de verre coloré
Laissent monter leurs flammes
Vers le ciel espéré.
4 commentaires:
Merci Yannick, pour ta sensibilité si bien posée. A une prochaine, avec grand plaisir.
Sont-ce les vitraux du Mont saint-Michel ? Quelle beauté dans la simplicité !
Oui.
Merci, Yannick, pour tous ces posts poétiques et inspirants.
Et même si tu as des intentions peu humaines à mon égard (vouloir m'attacher avant les librairies, quel crime !), je voulais te dire combien j'ai apprécié le week-end à Saint-Michel, cet ange qui représente tant pour moi sur sa montagne... Merci pour ta sensibilité, ton humour et la profondeur de ton regard sur les choses et les êtres...
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